Le XXème siècle a légué à ses enfants la maîtrise de la fée Électricité, le PC et Internet.
À eux de sortir des énergies fossiles et d'inventer la génération et le stockage de l'électricité à partir de ressources dont l'exploitation ne compromet pas la survie des espèces.
L'homme du XXIème siècle est connecté aux autres, partout et tout le temps. C'est un besoin créé de toutes pièces par les puissances économiques et ce besoin est devenu aussi vital socialement que l'eau l'est biologiquement.
Ce besoin nécessite de l'électricité, forme d'énergie que l'on ne sait pas stocker sauf à passer par un médium chimique : l'accumulateur.
Aujourd'hui, celui-ci est imparfait car peu efficace dans son rapport d'énergie à la masse ou au volume. Et sa capacité de stockage dans le temps est médiocre.
Néanmoins, depuis l'accumulateur au plomb vieux d'un siècle et toujours en usage, de nouveaux procédés de stockage plus efficaces sont apparus. Et, poussée par lesdites puissances économiques, l'industrie en développe d'autres, toujours plus efficaces.
Et nous rend de fait plus captifs d'une technologie propriétaire.
Si nous ne sommes pas prêts à accepter ce diktat, il nous faut concevoir, pour nos applications de tournage, un système d'alimentation compatible avec les chimies passées, présentes et à venir.
Et économe au possible.
Un système programmable, capable de gérer, pour toute chimie définie, les décharges et recharges, et d'estimer l'énergie et le temps restants.
Un système qui participe a minima au réchauffement du plateau, sinon du climat.
Un système qui affranchit l'utilisateur d'un processus de programmation complexe.
Bref, nous avons du pain sur la planche.
À suivre...
À eux de sortir des énergies fossiles et d'inventer la génération et le stockage de l'électricité à partir de ressources dont l'exploitation ne compromet pas la survie des espèces.
L'homme du XXIème siècle est connecté aux autres, partout et tout le temps. C'est un besoin créé de toutes pièces par les puissances économiques et ce besoin est devenu aussi vital socialement que l'eau l'est biologiquement.
Ce besoin nécessite de l'électricité, forme d'énergie que l'on ne sait pas stocker sauf à passer par un médium chimique : l'accumulateur.
Aujourd'hui, celui-ci est imparfait car peu efficace dans son rapport d'énergie à la masse ou au volume. Et sa capacité de stockage dans le temps est médiocre.
Néanmoins, depuis l'accumulateur au plomb vieux d'un siècle et toujours en usage, de nouveaux procédés de stockage plus efficaces sont apparus. Et, poussée par lesdites puissances économiques, l'industrie en développe d'autres, toujours plus efficaces.
Et nous rend de fait plus captifs d'une technologie propriétaire.
Si nous ne sommes pas prêts à accepter ce diktat, il nous faut concevoir, pour nos applications de tournage, un système d'alimentation compatible avec les chimies passées, présentes et à venir.
Et économe au possible.
Un système programmable, capable de gérer, pour toute chimie définie, les décharges et recharges, et d'estimer l'énergie et le temps restants.
Un système qui participe a minima au réchauffement du plateau, sinon du climat.
Un système qui affranchit l'utilisateur d'un processus de programmation complexe.
Bref, nous avons du pain sur la planche.
À suivre...